Événements

Conférence finale du projet CARISMA

« Réaliser le potentiel des options d’atténuation du changement climatique – Mettre en œuvre l’Accord de Paris en Europe et au-delà »

Mardi, 6 Février 2018

Salle de conférence du CEPS, Place du Congrès 1, 1000 Bruxelles

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I4CE, en tant que partenaire de recherche du projet H2020 « CARISMA », est heureux de vous inviter à assister à cette conférence finale consacrée à l’innovation pour l’atténuation du changement climatique. Lors de cette conférence finale, les résultats du projet seront présentés, dans le contexte d’un besoin croissant d’intensification des options d’atténuation pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris. Dans la pratique, le déploiement de ces options (technologiques) d’atténuation est souvent entravé par des aspects économiques, une résistance du public ou une prise en compte insuffisante des circonstances locales. Lors de la conférence, ces aspects, avec des recommandations de CARISMA sur la manière de les aborder, seront discutés avec des professionnels des secteurs public et privé.

Les intervenants de la conférence comprendront entre autres: Maria van der Hoeven (vice-présidente du Groupe de haut niveau de l’Initiative européenne sur les voies de décarbonisation), Andrea Tilche (DG Recherche et innovation, Commission européenne), Corrado Topi (Initiative GreenEcoNet sur les PME vertes) ), et Heleen de Coninck (coordinatrice du projet CARISMA).

L’agenda de la conférence est disponible ici

Téléchargez la brochure de la conférence ici.

Pour l’inscription en ligne, veuillez cliquer ici.

Veuillez noter que CARISMA ne peut pas offrir de financement / remboursement pour assister à cet événement.

06 fév 2018

Conférence finale du projet CARISMA

Pour aller plus loin
  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

  • 26/05/2023
    Financement climat : les pavés dans la mare

    Le rapport Pisani-Ferry a jeté un premier pavé dans la mare en estimant à environ 30 milliards d’euros par an le besoin supplémentaire de dépenses publiques pour faire la transition climatique. Et un second pavé en explorant différentes options pour dégager une telle somme, telles que l’endettement et – ce qui a évidemment beaucoup fait parler – la hausse de la fiscalité sur les ménages aisés. Les membres du gouvernement qui ont réagi au rapport ont, malheureusement, omis de commenter le chiffre de 30 milliards. Mais ils ont largement commenté, et rejeté, la hausse de l’endettement et de la fiscalité pour financer ces dépenses.

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