Événements

How to redirect capital towards a low-carbon and resilient growth

Date: December 8, 2.45pm until 4.15
Location: European pavilion – Brussels room
Organisers: GLOBE EU

According to the International Energy Agency, the world will need $1 trillion each year until 2050 to finance the transition to a low-carbon global economy. Some estimates run even higher: recent studies show that, by 2020, more than $5 trillion will need to be invested annually in green infrastructure to ward off climate change.

Public funding will play an important role in delivering on the global commitment of $100 billion climate financing annually by 2020. This commitment, in spite of efforts by the public sector to mobilize alternative sources, will fail to raise the immense amount of money needed unless financial support by the private sector is unlocked.
New and innovative sources of financing, as well as enhanced cooperation between public and private sector, are needed to spur the investments needed; for climate adaptation as well as mitigation. Financial regulations around the world, however, continue to spur investments in carbon intensive technologies. As long as climate policies and financial sector policies run separate trajectories, therefore, we will not be able to turn the tide.

The objective of this GLOBE EU side event is to understand the role played by the financial sector and the mechanisms of financial regulation. It seeks to identify the changes necessary in regulation and recognize the need for voluntary action.
Regulatory change could include, for example, increased capital requirements for banks to reflect the risks of high-carbon investments; changes in the policies of credit rating agencies when determining environmental risks; and stricter accounting standards and rules concerning the disclosure of climate risks to the investors.

08 déc 2015

How to redirect capital towards a low-carbon and resilient growth

Pour aller plus loin
  • 02/06/2023
    Investissements climat : derrière les chiffres, des choix politiques

    Avec le récent rapport de Jean Pisani-Ferry et Selma Mahfouz, la question du financement de la transition climatique fait les gros titres en France. Il suscite énormément de réactions et vous trouverez dans cette newsletter plusieurs analyses d’I4CE, dont une qui explore l’idée de financer la transition avec des économies budgétaires et met en lumière les défis, jamais faciles, que cela implique de relever

  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

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Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
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