Événements Certification carbone

Réunion de travail I Les nouvelles méthodes forestières dans le cadre du Label Bas Carbone

Conférences - Par : Claudine FOUCHEROT

Le Centre National de la Propriété Forestière, Fransylva et I4CE, Institut de l’Economie pour le Climat, en partenariat avec France Bois-Forêt, organisent une réunion de travail en visio-conférence sur les nouvelles méthodes forestières dans le cadre du Label Bas Carbone.

 

 

Cette réunion a vocation à rassembler toutes les personnes qui envisagent de contribuer au développement de nouvelles méthodes, ciblant de nouvelles pratiques sylvicoles labellisables.

 

Les objectifs de la réunion sont les suivants :

  1. Faire un point rapide sur les méthodes existantes ou en voie de finalisation, qui concerne la forêt ou l’arbre : méthodes CNPF historiques, forêt méditerranéenne, agroforesterie, arboriculture.
  2. Faciliter la rencontre entre les acteurs souhaitant développer de nouvelles méthodes, afin de leur laisser l’opportunité de mutualiser les efforts et l’expertise.
  3. Discuter ensemble de la pertinence/faisabilité des nouvelles pratiques identifiées par les membres du groupe.

 

L’ordre du jour de la réunion est le suivant :

9h30 – 10h30 – Rappels sur l’existant (I4CE, CNPF, Fransylva).

  • Le Label Bas Carbone et ses caractéristiques clés
  • Les éléments clés d’une méthode
  • Les premières méthodes forestières validées
  • Les autres méthodes en cours de développement
  • Temps d’échange

10h30 – 12h30 – Tour d’horizon des propositions et idées de nouvelles méthodes, dont notamment :  

  • Sylviculture du Pin d’Alep
  • Evitement et coupe rase et futaie irrégulière
  • Allongement des cycles de production
  • Arbre en ville
  • Boisement urbain à haute densité (type Miyawaki)
  • Ilots de sénescence et non-gestion de forêts à hauts enjeux écologiques
  • Transformation et amélioration de peuplements pauvres
  • Enrichissement
  • Stockage du carbone dans les produits-bois (bâtiment)

Dans le cadre de cette seconde partie de réunion, nous prévoyons un petit temps d’échange sur chaque sujet de méthode qui a été proposé, avec ces objectifs :

  1. Présentation brève de l’idée de méthode et pourquoi c’est pertinent
  2. Retours et témoignages des autres personnes intéressées pour travailler sur cette méthode ou a minima l’utiliser.
  3. Premiers échanges sur la faisabilité, les points de vigilance.
  4. Définition quand c’est possible d’une prochaine étape (un leader, une prochaine réunion) pour les sujets les plus matures.

 

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24 nov 2020

Réunion de travail I Les nouvelles méthodes forestières dans le cadre du Label Bas Carbone

Contacts I4CE
Claudine FOUCHEROT
Claudine FOUCHEROT
Directrice du programme Agriculture et forêt Email
Pour aller plus loin
  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

  • 26/05/2023
    Financement climat : les pavés dans la mare

    Le rapport Pisani-Ferry a jeté un premier pavé dans la mare en estimant à environ 30 milliards d’euros par an le besoin supplémentaire de dépenses publiques pour faire la transition climatique. Et un second pavé en explorant différentes options pour dégager une telle somme, telles que l’endettement et – ce qui a évidemment beaucoup fait parler – la hausse de la fiscalité sur les ménages aisés. Les membres du gouvernement qui ont réagi au rapport ont, malheureusement, omis de commenter le chiffre de 30 milliards. Mais ils ont largement commenté, et rejeté, la hausse de l’endettement et de la fiscalité pour financer ces dépenses.

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