Webinaire I Nouveau décret sur le reporting climat : ce qui va changer pour les institutions financières

Webinaires - Par : Anuschka HILKE

Webinaire annulé et reporté à une date ultérieure

 

 

La DG Trésor et le CGDD viennent de mettre en consultation publique le projet de décret d’application de la nouvelle loi sur le reporting climat des institutions financières. Ce décret, très attendu depuis plusieurs mois, apporte beaucoup de précisions sur les exigences de reporting, notamment autour des enjeux d’alignement et de gestion des risques.

 

Pourquoi faut-il préciser les exigences de reporting ? Pourquoi le projet de décret rentre-t-il autant dans les détails ? N’est-ce pas surtout beaucoup de travail pour les institutions financières ? Quel intérêt pour elles ?

 

Pour répondre à toutes ces questions, et à toutes celles que vous pourriez avoir, I4CE vous invite à un wébinaire de décryptage du projet de décret et de ses passages sur l’alignement avec une trajectoire bas-carbone, sur l’analyse des risques physiques et sur l’analyse des risques de la transition vers une économie bas-carbone. Venez posez vos questions !

 

I4CE, en collaboration avec l’Institut Louis Bachelier, le WWF et le CGDD, a étudié les méthodes que les institutions financières peuvent utiliser pour analyser leurs portefeuilles et faire leur reporting climat. Cette étude propose aussi différentes options pour améliorer la qualité du reporting, et sera rendue publique dans les toutes prochaines semaines.

16 fév 2021

Webinaire I Nouveau décret sur le reporting climat : ce qui va changer pour les institutions financières

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Anuschka HILKE
Anuschka HILKE
Directrice du Programme Institutions Financières Email
Pour aller plus loin
  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

  • 26/05/2023
    Financement climat : les pavés dans la mare

    Le rapport Pisani-Ferry a jeté un premier pavé dans la mare en estimant à environ 30 milliards d’euros par an le besoin supplémentaire de dépenses publiques pour faire la transition climatique. Et un second pavé en explorant différentes options pour dégager une telle somme, telles que l’endettement et – ce qui a évidemment beaucoup fait parler – la hausse de la fiscalité sur les ménages aisés. Les membres du gouvernement qui ont réagi au rapport ont, malheureusement, omis de commenter le chiffre de 30 milliards. Mais ils ont largement commenté, et rejeté, la hausse de l’endettement et de la fiscalité pour financer ces dépenses.

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