Événements

Conference « Putting a price on Carbon European & North American Experiences and Paths Forward »

En partenariat avec l’ambassade de France aux États-Unis et Environnemental Defense Fund, I4CE a organisé une conférence le 9 novembre 2015 à Washington –D.C sur le thème « Putting a price on Carbon : European & North American Experiences and Paths and Forward».

 

À quelques semaines de la COP21, la conférence visait à partager les expériences européennes et nord-américaines en matière de mise en œuvre de systèmes d’échanges de quotas. I4CE a présenté les résultats de son programme de recherche « COPEC » sur le développement de l’EU ETS à l’horizon 2030.

 

 

Programme

9h30  – Introduction

  • Renaud LASSUS, Head of the Economic Department, Embassy of France in US
  • Benoît LEGUET, Director, I4CE – Institute for Climate Economics
  • Derek WALKER, Associate Vice-President, Environmental Defense Fund

 

9h45 – Carbon pricing benefits: emissions reductions, growth and investment

This session explores the various climate, economic and social benefits that can be derived from putting a price on carbon. In particular, it will address how carbon pricing policies can reduce emissions, enhance economic efficiency, foster growth and support low-carbon investments and which sectors and communities could benefit most from carbon revenues.

 

Chairman : Benoît LEGUET, Director, I4CE – Institute for Climate Economics

 

Presentation:

 

Discussion:

 

Questions & debate

 

11h20 – Carbon pricing, decarbonisation and investments: balancing ambition, risk and flexibility

This session will explore how emission trading schemes support low-carbon technology financing in line with long-term domestic climate ambition. In doing so, the session will explore the most effective way to maintain a strong price signal and how best to manage interactions with complementary energy and climate policies.

 

Chairman: Benoît LEGUET, Director, I4CE – Institute for Climate Economics

 

Presentation:

 

Discussions:

  • Jean-Yves CANEILL, Head of Climate Policy, Electricité de France
  • Melissa LAVINSON, Chief of Sustainability PG&E

 

Questions & debate

 

2.15 pm – Carbon pricing in industry, competitiveness and leakages

In view of fragmented carbon pricing policies, this session will explore how emission trading schemes can both, increase long-term competitiveness and decrease decarbonisation costs. It will explore existing and potential methods that tackle the risk of carbon leakage well as detailing the importance of maintaining incentives for emission reductions that do not introduce distortions between economic sectors.

 

Chairman: Todd EDWARDS, Program Officer for Climate Change, Stanley Foundation

Presentation:

 

Discussion:

  • Tom LAWLER, Washington DC Representative, International Emissions Trading Association

 

Questions & debate

 

3.50 pm – Towards a carbon pricing club on the road to and through COP21?

The session will attempt to explore international efforts on climate action and focus on how COP21 could help coordinate dialogues on carbon pricing at the national and subnational level. Specifically, the session will address how COP21 can help to facilitate these dialogues; how best to accommodate carbon clubs operating in a multilateral context; and the possible criteria that could be considered for membership.

 

Moderator: Todd EDWARDS, Program Officer for Climate Change, Stanley Foundation

 

Round Table Participants

 

5.00 PM – Conclusion

  • Perspectives on Carbon Pricing in Congress: Opportunities and Challenges
  • Todd WOOTEN, Senior Counsel for Energy and Tax on the Senate Finance Committee

 

09 nov 2015

Conference « Putting a price on Carbon European & North American Experiences and Paths Forward »

Pour aller plus loin
  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Assouplir les normes CO₂ pour les voitures ne sauvera pas l’industrie automobile européenne, ni le pouvoir d’achat

    Récemment, les constructeurs automobiles ont appelé à un assouplissement des normes d’émission de CO2 pour les véhicules, ainsi qu’à un report de l’objectif 2035 sur la fin de vente des véhicules thermiques. Ils soulignent en particulier la crise que l’industrie a connu ces dernières années, la pression croissante de la Chine sur leur compétitivité et la demande insuffisante de véhicules électriques en Europe. Alors que la Commission européenne s’apprête à publier son paquet automobile, qui comprend une révision des normes d’émissions de CO₂ pour les voitures, cet article examine les réalités qui se cachent derrière les difficultés actuellement rencontrées par les constructeurs automobiles et les conséquences d’un assouplissement et d’un report de la réglementation européenne pour ce secteur. 

  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Maintenir l’objectif 2035 pour soutenir la transition de l’industrie automobile française

    Pour réduire ses émissions de CO2 et ses coûteuses importations de carburants fossiles, l’Union Européenne s’est donné pour règle en 2022 qu’à partir de 2035, tous les nouveaux véhicules devront être à émissions nulles, c’est-à-dire essentiellement électriques. Mais aujourd’hui, ce règlement est remis en question. Les constructeurs automobiles demandent sa révision, pour autoriser les véhicules hybrides rechargeables, ou ceux fonctionnant aux biocarburants, entre autres modifications qui reviendraient, si elles étaient adoptées, à continuer à vendre des véhicules thermiques après 2035.  

  • 28/11/2025
    La finance climat à Belém : une opportunité manquée pour la mise en œuvre – et des coalitions qui avancent malgré tout

    La COP30 s’est conclue par un accord, preuve que le multilatéralisme fonctionne encore, mais son contenu déçoit : aucune décision sur la sortie des énergies fossiles ni contre la déforestation, un bilan mitigé pour l’adaptation. Sur la finance climat, Belém n’a pas réussi à passer de l’ambition à la mise en œuvre. Les négociations ont vite dérivé vers une nouvelle bataille de chiffres. La décision de tripler les financements pour l’adaptation laisse un goût d’inachevé : horizon lointain (2035), absence d’année de référence et formulation peu contraignante. Surtout, la COP30 a manqué l’occasion de s’attaquer aux mesures concrètes identifiées dans la feuille de route de Bakou à Belém pour atteindre 1 300 milliards de financements en 2035. Elle a cependant lancé de nouveaux processus : programme de travail sur la finance climat et table ronde ministérielle sur le NCQG.  

Voir toutes les publications
Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
Inscrivez-vous à notre liste de diffusion :
Je m'inscris !
Inscrivez-vous à notre newsletter
Une fois par semaine, recevez toute l’information de l’économie pour le climat.
Je m'inscris !
Fermer