Conférence | Label Bas-Carbone et SBTi : Quelles synergies et quels enjeux pour les industries de l’agroalimentaire et du luxe ?

Conférences - Par : Claudine FOUCHEROT
 

 

Si les industries de l’agroalimentaire (IAA) et du luxe (IAL) définissent leurs objectifs de réductions d’émissions de gaz à effet de serre sur leur Scope 3 (les exploitations agricoles) le plus souvent en conformité avec le SBTi (Science Based Targets initiative), le projet CarbonThink s’appuie sur le Label Bas-Carbone (LBC) pour évaluer et valoriser la performance Carbone de fermes de grandes cultures.

 

En quoi les nouvelles méthodes du LBC précisent l’approche classique Scope 3 telle que celle du SBTi ?

 

Comment les IAA et IAL peuvent-elles s’appuyer sur ces nouvelles méthodes pour mesurer l’atteinte de leurs objectifs SBTi ?

 

Le projet CarbonThink a répondu à ces questions pendant le Salon International de l’Agriculture (SIA) lors d’une conférence dédiée le mardi 1er mars 2022.

 

 

Programme :

1ère partie : Présentation des grands principes, différences et complétudes entre LBC et SBTi par Claudine Foucherot (I4CE) et Edouard Lanckriet (Agrosolutions)

 

2ème partie : Regards croisés entre acteurs de l’agroalimentaire, du luxe et représentants du monde agricoles afin de confronter objectifs et moyens en matière de bas-carbone animé par Jean-Pierre Rennaud (Planet A)

 

3ème partie : Ouverture sur l’articulation entre primes filières et crédits Carbone par Claudine Foucherot (I4CE) et Edouard Lanckriet (Agrosolutions)

 

01 mars 2022

Conférence | Label Bas-Carbone et SBTi : Quelles synergies et quels enjeux pour les industries de l’agroalimentaire et du luxe ?

Contacts I4CE
Pour aller plus loin
  • 24/11/2025
    Errata – Rapport Panorama des financements climat, Édition 2025
  • 21/11/2025
    Comment renforcer la gestion des risques climatiques pour protéger la stabilité financière

    Le changement climatique ne se conforme pas aux cycles économiques, politiques ou de supervision financière – ses impacts négatifs à long terme se situent au-delà de ces horizons. Il y a dix ans, lorsque Mark Carney a souligné ce paradoxe dans son discours emblématique Tragedy of the Horizons, le changement climatique n’était pas considéré comme un risque pour la stabilité financière. Aujourd’hui, les tests de résistance européens estiment à 638 milliards d’euros les pertes bancaires sur 8 ans, tandis que la Banque centrale européenne (BCE) révèle que plus de 90 % des banques sont confrontées à des risques climatiques et environnementaux. Une question clé se pose : l’accent mis par les superviseurs sur le verdissement du système financier est-il suffisant face aux risques croissants, notamment ceux liés aux actifs échoués ? 

  • 19/11/2025
    Comment les contributions de solidarité mondiale peuvent aider à combler le déficit de financement pour le climat et de développement

    The climate and development finance gap is large and widening, as Official Development Assistance (ODA) declines and needs multiply. With shrinking fiscal space in vulnerable countries, solidarity levies are gaining attention as a predictable source of international finance. Launched at COP28 by Barbados, France, and Kenya, the Global Solidarity Levies Task Force (GSLTF) is the main initiative in this space.

Voir toutes les publications
Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
Inscrivez-vous à notre liste de diffusion :
Je m'inscris !
Inscrivez-vous à notre newsletter
Une fois par semaine, recevez toute l’information de l’économie pour le climat.
Je m'inscris !
Fermer