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Le G20, acteur d’une transformation social-écologique?

La Heinrich-Böll-Stiftung France et I4CE  – Institute for Climate Economics vous convient à la conférence

Le G20, acteur d’une transformation social-écologique?

 

Table ronde :

Modération: Anna Créti, Professeur d’économie à Paris Dauphine
 

  • Barbara Unmüßig, Présidente de La Fondation Heinrich-Böll
  • Pierre Ducret, Président d’I4CE – Institute for Climate Economics
  • Célia Gautier, Responsable des Politiques européennes et internationales pour Réseau Action Climat France
  • Guido Schmidt-Traub, Directeur exécutif du UN Sustainable Development Solutions Network.

 

La régulation de la mondialisation est un enjeu majeur des élections présidentielles en France. Le G20 de début juillet à Hambourg sera, pour la nouvelle présidence francaise, un premier défi. L’accord de Paris sur le climat ainsi que le libre-échange sont remis en question par l’administration Trump. Dans le même temps, l’Allemagne préside cette année le G20, et cela pourrait constituer une occasion pour une initiative franco-allemande et européenne en faveur d’une mondialisation plus juste et plus durable, pour faire avancer la transformation social-écologique au sein et avec les pays du G20.

 

Une institution comme le G20 peut justement permettre de réguler le libre-échange de tel sorte qu’il n’avantage pas seulement les grandes entreprises et capitaux, mais qu’il puisse permettre au contraire un développement durable et équitable à travers le monde.

 

Une question telle que la lutte contre le réchauffement climatique ne saurait se passer d’une coopération entre les pays du G20.

 

Une telle coopération serait-elle envisageable, et sous quelles conditions dans le contexte actuel ?

15 mai 2017

Le G20, acteur d’une transformation social-écologique?

Pour aller plus loin
  • 12/12/2025 Billet d'analyse
    Paris +10 : l’action climat plus que jamais nécessaire pour assurer notre sécurité, notre souveraineté, notre compétitivité, et la soutenabilité de nos finances publiques

    Qu’il semble loin, le 12 décembre 2015. Toutes les délégations à la COP21 se rangeaient alors derrière le petit marteau vert (en bois jurassien) de Laurent Fabius. Dix ans plus tard, la mode est plutôt au backlash.  La lutte contre le changement climatique peut désormais être décrite dans le débat public comme trop coûteuse car nécessitant des investissements conséquents. Inefficace, la part de nos émissions dans les émissions mondiales étant faible. Injuste, car venant amputer le pouvoir d’achat. Trop clivante, et voulue par une partie de l’électorat uniquement. Trop tardive, maintenir la planète sous +2°C de réchauffement semblant désormais hors de portée. Autant d’arguments qui sont pour partie vrais. Mais nécessitent pour autant d’être fortement nuancés. 

  • 11/12/2025 Billet d'analyse
    MaPrimeRénov’ : comment éviter de nouveaux coups d’arrêt ?

    À l’été 2025, le Gouvernement a décidé de fermer le guichet de MaPrimeRénov’ dédié aux rénovations d’ampleur pour les maisons individuelles. Pas seulement en raison des fraudes sur certains dossiers, mais surtout parce que les moyens de l’Anah n’ont pas suivi l’essor de ces rénovations. Pourtant, la dynamique observée depuis 2024 est un acquis à préserver : la rénovation d’ampleur a du succès et constitue une opportunité économique. Dans le projet de loi de finances, le Gouvernement propose de réduire à nouveau les crédits alloués à l’Anah, faisant craindre un nouveau coup d’arrêt en 2026. Quels moyens pour sécuriser le financement de la rénovation énergétique à court terme ? Et quelles perspectives pour accroître les rénovations d’ampleur sans augmenter les dépenses publiques ? 

  • 11/12/2025 Billet d'analyse
    Le financement climatique à la COP30 : progrès, écueils, défis et perspectives d’avenir

    Il y a quelques semaines, la COP30 s’est achevée à Belém avec l’accord de toutes les parties sur une « mobilisation mondiale » (ou mutirão) contre le changement climatique, prouvant que le multilatéralisme reste une voie viable pour permettre l’action, malgré de forts vents contraires géopolitiques et économiques. Cependant, Belém a donné des résultats décevants : aucune feuille de route pour la transition vers l’abandon des combustibles fossiles, malgré une forte pression de plus de 80 pays, pas de décisions concrètes sur la déforestation, ce qui est décevant pour une « COP amazonienne », et des résultats mitigés sur l’objectif mondial en matière d’adaptation, entre autres. 

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