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#30minsur : quelle contribution des contrats de plan État-Regions (CPER) pour le climat ?

Webinaires - Par : Aurore COLIN
 

 

40 milliards d’euros sont actuellement en cours de négociation entre l’Etat et les Régions pour la nouvelle génération des Contrats de Plan Etat-Régions (CPER). Ces CPER, dont la signature est attendue dans les mois qui suivront les élections régionales de juin, vont définir les priorités d’investissement pour l’aménagement et le développement des territoires jusqu’en 2027. Or, les CPER sont des outils qui comptent pour la lutte contre les changements climatiques. Ils financent en effet des secteurs clés pour réussir la transition bas carbone : les transports qui doivent faire leur mutation, les bâtiments de l’enseignement supérieur qu’il va falloir à rénover, les énergies renouvelables, etc. Les 40 milliards d’euros en cours de négociation vont-ils permettre aux territoires et à leurs habitants de relever le défi du changement climatique ?  

 

I4CE a le plaisir de vous convier à un webinaire très court pour creuser cette question et présenter sa dernière étude sur l’analyse climat des CPER 2015-2020. Présentation de ces contrats « méconnus », résultats de l’analyse climat, et enseignements pour les prochains CPER en cours de négociation. Les experts d’I4CE répondront également aux questions que vous leurs poserez dans le tchat. Venez les questionner !  

 

Ce webinaire s’adresse à tous et pas seulement aux personnes déjà expertes de l’économie et du climat.   

20 mai 2021

#30minsur : quelle contribution des contrats de plan État-Regions (CPER) pour le climat ?

Contacts I4CE
Aurore COLIN
Aurore COLIN
Cheffe de projet – Collectivités et Investissement Email
Pour aller plus loin
  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

  • 26/05/2023
    Financement climat : les pavés dans la mare

    Le rapport Pisani-Ferry a jeté un premier pavé dans la mare en estimant à environ 30 milliards d’euros par an le besoin supplémentaire de dépenses publiques pour faire la transition climatique. Et un second pavé en explorant différentes options pour dégager une telle somme, telles que l’endettement et – ce qui a évidemment beaucoup fait parler – la hausse de la fiscalité sur les ménages aisés. Les membres du gouvernement qui ont réagi au rapport ont, malheureusement, omis de commenter le chiffre de 30 milliards. Mais ils ont largement commenté, et rejeté, la hausse de l’endettement et de la fiscalité pour financer ces dépenses.

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Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
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