Webinaire | Indexer les exigences prudentielles sur le climat : à quels impacts peut-on s’attendre ?

Webinaires - Par : Julie EVAIN

 

 

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Accroitre la contribution des banques, c’est l’enjeu majeur qu’I4CE propose d’aborder dans une étude publiée en septembre 2021.

 

L’objectif est de dépasser l’opposition classique entre les partisans d’un Green Supporting Factor (pour un allègement prudentiel dû au risque moindre des actifs verts) et d’un Penalising Factor (pour pénaliser les activités fortement émettrices en CO2 car davantage exposées aux risques de transition).

 

En déterminant les impacts de ces deux approches sur le financement des projets, sur la rentabilité interne des banques, et sur la croissance ou la contraction du crédit, I4CE démontre que les outils prudentiels sont peut-être une réponse à une problématique de risques, mais ils ne répondent pas suffisamment aux enjeux de la transition. Hormis la sortie programmée des activités fossiles pour laquelle un facteur de pénalisation fort et localisé peut être envisageable, les autres impacts sur la transition de ces dispositifs sont négligeables voire contreproductifs.

 

Intervenants.es :

  • Pauline Becquey, Directrice générale de Finance for Tomorrow,  modèrera cet échange.
  • Julie Evain, Cheffe de projet I4CE, présentera les points forts de l’étude.
  • Pierre Monnin,  Senior Fellow auprès du Council on Economic Policies, réagira ensuite

 

Un temps  de questions/réponses est prévu en deuxième partie de webinar.

 

Ce webinaire se tiendra en anglais.

18 oct 2021

Webinaire | Indexer les exigences prudentielles sur le climat : à quels impacts peut-on s’attendre ?

Contacts I4CE
Julie EVAIN
Julie EVAIN
Cheffe de projet – Réglementation financière et Europe Email
Pour aller plus loin
  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

  • 26/05/2023
    Financement climat : les pavés dans la mare

    Le rapport Pisani-Ferry a jeté un premier pavé dans la mare en estimant à environ 30 milliards d’euros par an le besoin supplémentaire de dépenses publiques pour faire la transition climatique. Et un second pavé en explorant différentes options pour dégager une telle somme, telles que l’endettement et – ce qui a évidemment beaucoup fait parler – la hausse de la fiscalité sur les ménages aisés. Les membres du gouvernement qui ont réagi au rapport ont, malheureusement, omis de commenter le chiffre de 30 milliards. Mais ils ont largement commenté, et rejeté, la hausse de l’endettement et de la fiscalité pour financer ces dépenses.

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