Les 24h du climat – seconde édition

Conférences

Réunir l’ensemble de la société pour parler climat pendant 24 heures au coeur des territoires, c’est le pari des 24h du Climat.

 

Ministres, parlementaires, entreprises, ONG, chercheurs, citoyens, scientifiques, philosophes, institutions, administrations, think tanks… seront réunis, les 28 et 29 septembre, pour débattre, confronter les idées, faire connaître les freins rencontrés, chercher des solutions et proposer des mesures concrètes pour accélérer la transition écologique de notre pays.

 

Nous n’avons pas tous la même sensibilité politique, écologique, philosophique et nous savons que la tâche est immense, mais l’enjeu est tel qu’il s’impose à nous et nous condamne à réussir, ensemble.

 

Initiées par Anthony Cellier, député de la 3ème circonscription du Gard, Président du Conseil supérieur de l’énergie, et le Réseau Action Climat, et organisées conjointement avec l’Ademe, l’Association Entreprises pour l’environnement (EpE), l’Institut de l’économie pour le Climat (I4CE), sous le haut-patronage du président de l’Assemblée nationale, avec le soutien du Haut Conseil pour le Climat, les 24 heures du Climat, c’est un évènement transpartisan, interactif, ouvert à toutes et à tous.

 

Cette seconde édition a été l’occasion d’aborder en profondeur 6 grandes thématiques : la rénovation énergétiquel’alimentationles mobilitésl’énergiel’Europe et la place du citoyen et des territoires dans la transition écologique.

 

Chaque thématique a fait l’objet de 3 tables rondes et d’un regard croisé permettant de nous fournir des clés d’analyse pertinentes et efficaces pour comprendre et agir en faveur de la transition écologique. Sur chaque table ronde, un parlementaire – député, sénateur ou député européen – spécialiste du sujet sera présent pour présenter sa vision du sujet, les avancées législatives, les problématiques et solutions entourant ce sujet.

 

Cette seconde édition a rassemblé une centaine d’intervenants (ONG, scientifiques, entreprises, parlementaires…) qui ont dû formuler une proposition concrète pour accélérer nos ambitions. Ainsi à la fin de l’évènement, nous étions en mesure de formuler pour l’ensemble des différentes thématiques, des propositions de modifications législatives ou réglementaires pour lever les freins et accélérer la transition écologique.

 

L’ambition des 24h du climat est d’agir de manière collectivetranspartisane et concertée en faveur de la transition écologique.

 

 

Programme

 

28 SEPTEMBRE 2021 – JOUR 1

 

Rénovation énergétique

  • H1 – Rénovation énergétique : incitation ou obligation ?
  • H2 – Rénovation énergétique du patrimoine public : mission impossible ?
  • H3 – Avons-nous assez d’artisans ?
  • H4 – Quels types d’accompagnement pour la rénovation énergétique ?

Transports et Mobilités

  • H5 – La voiture électrique représente-t-elle l’avenir de la mobilité ?
  • H6 – Dernier kilomètre : Comment réduire l’impact écologique des livraisons ?
  • H7 – La France, locomotive ou lanterne rouge de la relance du rail ?
  • H8 – La croissance du trafic aérien est-elle compatible avec nos ambitions climatiques ?

Agriculture et Alimentation

  • H9 – Mieux se nourrir : Comment faire évoluer les pratiques alimentaires et l’assiette du consommateur ?
  • H10 – Transition écologique : Une chance pour les agriculteurs ?
  • H11 – La gastronomie devra-t-elle s’adapter à la transition écologique ?
  • H12 – Réforme de la politique agricole commune : une avancée pour le climat ?

 

29 SEPTEMBRE 2021 – JOUR 2

 

Europe

  • H13 – Quelle mise en œuvre des objectifs climatiques européens ?
  • H14 – Taxe carbone aux frontières de l’Europe : Une nécessité ?
  • H15 – La BCE doit-elle se mettre au vert ?
  • H16 – Taxonomie verte : une révolution pour la finance ?

Énergie

  • H17 – Quelles énergies renouvelables pour demain ?
  • H18 – Comment réduire efficacement la consommation d’énergies fossiles en France ?
  • H19 – Quels types de chauffage pour une France neutre en carbone ?
  • H20 – Taxe carbone sur l’énergie : Faut-il la relancer ?

Citoyens et Territoires

  • H21 – Quelle responsabilité individuelle face au changement climatique ?
  • H22 – Quelle transition écologique à l’échelon local ?
  • H23 – Demain, quelle justice pour le climat ?
  • H24 – Quel rôle pour la société civile ?

28 sept 2021

Les 24h du climat – seconde édition

Pour aller plus loin
  • 18/04/2025 Billet d'analyse
    Le budget climat base zéro

    Le gouvernement entend préparer sans attendre le prochain projet de loi de finances et, pour éviter de passer des coups de rabot en urgence, réinterroger à la base chaque dépense. Le terme de « budget base zéro » est même évoqué. Qu’est-ce que cela peut signifier pour les dépenses de l’État qui concourent à la transition climat ? Dans ce billet, Damien DEMAILLY et François THOMAZEAU proposent de traduire cette intention en se posant trois questions successives pour chaque dépense, afin de déterminer in fine si elle est utile.

  • 16/04/2025 Billet d'analyse
    Budget 2026 : pour une articulation efficace des aides à la rénovation énergétique des logements

    Le Gouvernement planche sur son budget 2026, avec l’objectif de trouver 40 milliards d’euros pour réduire le déficit public. Une piste – évoquée lors des précédents débats budgétaires puis repoussée – consisterait à faire reposer une partie du financement de la rénovation énergétique des logements privés sur les Certificats d’économies d’énergie (CEE), en substitution partielle à MaPrimeRénov’. Du budgétaire transformé en extra-budgétaire. Une telle décision politique n’aurait rien d’anodin. Dans ce billet, Maxime LEDEZ pose quatre principes pour garantir l’efficacité d’un éventuel rapprochement des deux dispositifs, en insistant notamment sur l’importance d’une décision à venir : le nouveau niveau d’obligation CEE que l’exécutif s’apprête à fixer.

  • 10/04/2025
    Plans de transition et politique de rémunération : Quels enjeux pour les acteurs financiers ?

    L’intégration d’indicateurs climatiques dans les rémunérations variables est un sujet brûlant. Retirée au dernier moment des négociations sur la directive sur le devoir de vigilance (CSDDD), la proposition reste pourtant d’actualité dans le débat politique. Si le sujet commence à devenir incontournable pour les rémunérations au sein des grandes entreprises, il semble demeurer tabou du côté des banques. Cette exigence figurait même déjà dans les attentes de supervision de la Banque Centrale Européenne en 2020. Elle semble cependant peu suivie par les banques.

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