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I4CE accrédité comme observateur auprès du Fonds Vert pour le Climat

23 septembre 2016 - Édito de la semaine

gCF

En tant qu’Observateur auprès du FVC, I4CE peut participer aux réunions du Fonds Vert, fournir des conseils stratégiques sur la conception, le développement et la mise en œuvre des stratégies, des projets et des activités à financer par le Fonds. Dans le cadre de ses responsabilités au titre d’observateur, I4CE espère faire des apports conséquents sur les questions examinées par le Conseil du Fonds Verts.

Le Fonds vert pour le climat est le principal instrument multilatéral d’aide aux pays pauvres et vulnérables en matière de climat et a été créé par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) lors des négociations sur les changements climatiques internationales (COP 17) à Durban, Afrique du Sud.

Le Fonds est conçu pour agir en tant qu’entité opérationnelle du mécanisme financier de la Convention. Il vise à soutenir un changement de paradigme dans la réponse mondiale au changements climatique en allouant des ressources financières à des projets réduisant les émissions et résilients au changement climatique dans les pays en développement.

Dans le cadre de sa mission stratégique de contribuer au débat public, I4CE est également un membre observateur de la CCNUCC. En tant que tel, les équipes d’I4CE et experts assistent régulièrement aux Conférences des Parties et aux réunions d’experts de la CCNUCC. La contribution d’I4CE se matérialise par la réponse à des consultations publiques et par l’organisation et participation à des événements parallèles et des conférences associées à ces événements.

Décision d’accréditation du 21 septembre :  GCF Decision B.BM-2016/1

 

Pour aller plus loin
  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

  • 26/05/2023
    Financement climat : les pavés dans la mare

    Le rapport Pisani-Ferry a jeté un premier pavé dans la mare en estimant à environ 30 milliards d’euros par an le besoin supplémentaire de dépenses publiques pour faire la transition climatique. Et un second pavé en explorant différentes options pour dégager une telle somme, telles que l’endettement et – ce qui a évidemment beaucoup fait parler – la hausse de la fiscalité sur les ménages aisés. Les membres du gouvernement qui ont réagi au rapport ont, malheureusement, omis de commenter le chiffre de 30 milliards. Mais ils ont largement commenté, et rejeté, la hausse de l’endettement et de la fiscalité pour financer ces dépenses.

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