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I4CE partenaire du rendez-vous sur les marchés de l’énergie de Capgemini

19 octobre 2015 - Édito de la semaine

Capgemini

L’Observatoire Européen des Marchés de l’Energie est une publication annuelle de Capgemini qui a pour vocation de suivre les principaux indicateurs des marchés de l’électricité et du gaz en Europe et de témoigner des évolutions et des transformations de ces secteurs. Nous serons heureux de vous faire découvrir la 17ème édition et ses conclusions lors d’une conférence-cocktail le 5 novembre 2015. Inscrivez-vous maintenant gratuitement à la présentation

Les transitions énergétiques s’opèrent en Europe et elles impliquent un changement profond des modèles d’affaire des Utilities. Les marchés de gros de l’électricité et du gaz restent très perturbés dans un contexte de baisse spectaculaire des prix du pétrole. Cet environnement dégradé se reflète dans les performances financiéres des Utilities.

Dans ce double contexte de transition énergétique et d’amélioration nécessaire de la performance opérationnelle, il est urgent que les Utilities mettent pleinement et rapidement œuvre leur transformation digitale. La COP21 va se dérouler dans un contexte de prix bas des hydrocarbures peu favorable. L’Europe est le « bon élève de la classe », mais une mise en cohérence des différentes mesures de diminution des émissions de gaz à effet de serre est nécessaire car elles génèrent des coûts très différents. Quelque soit le succès de la conférence, il est peu vraisemblable qu’elle conduise à des mesures suffisamment fortes et rapides pour limiter l’augmentation de la température de la planète à 2°C. Il faut donc mettre en place des actions limitant les effets du réchauffement climatique

Pour aller plus loin
  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

  • 26/05/2023
    Financement climat : les pavés dans la mare

    Le rapport Pisani-Ferry a jeté un premier pavé dans la mare en estimant à environ 30 milliards d’euros par an le besoin supplémentaire de dépenses publiques pour faire la transition climatique. Et un second pavé en explorant différentes options pour dégager une telle somme, telles que l’endettement et – ce qui a évidemment beaucoup fait parler – la hausse de la fiscalité sur les ménages aisés. Les membres du gouvernement qui ont réagi au rapport ont, malheureusement, omis de commenter le chiffre de 30 milliards. Mais ils ont largement commenté, et rejeté, la hausse de l’endettement et de la fiscalité pour financer ces dépenses.

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Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
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