
- Support de présentation du Panorama des financements climat édition 2016 Télécharger
-
11/07/2025
Investissements climat en baisse : rebondir au prochain budget
Pour la première fois depuis 10 ans, hors crise sanitaire, le montant des investissements « climat » réalisés par les entreprises, les ménages, les collectivités et l’État recule en France. De 5 % entre 2024 et 2023. Et ce montant pourrait stagner en 2025. Dommage, car ce sont nos investissements d’aujourd’hui qui conditionnent notre capacité demain à tenir nos objectifs de réduction d’émissions ou à nous adapter à un climat qui change. Mais derrière le sujet du climat, c’est l’avenir de filières économiques contribuant à notre souveraineté énergétique et industrielle qui est en jeu : dans les énergies bas-carbone, la mobilité propre, ou encore la rénovation des bâtiments.
-
10/07/2025
Panorama des financements climat, Édition 2025
Dans ce rapport, I4CE dresse l’état des lieux annuel des investissements réalisés par les ménages, les entreprises et les pouvoirs publics, dans les secteurs de la transition énergétique comme la rénovation des logements, les achats de véhicules électriques, les énergies renouvelables et d’autres secteurs de la transition énergétique. Alors qu’ils étaient engagés sur une dynamique positive de 2021 à 2023, les investissements climat marquent le pas et terminent l’année 2024 à 102 milliards d’euros, en baisse de 5% sur un an. Ce recul concerne d’abord la construction performante et la rénovation énergétique, mais aussi certaines énergies renouvelables comme l’éolien en mer et l’injection de biométhane. D’après les premières données disponibles, le niveau de des investissements climat stagnerait en 2025, à hauteur de 103 milliards d’euros.
-
06/05/2025
Tribune
Financement des mobilités : tout le monde va devoir bouger
La conférence plénière d’ouverture d’Ambition France Transports, réunie le 5 mai, doit définir un nouveau modèle de financement des infrastructures de transports à l’horizon 2040. Une seule certitude : étant donné la contrainte budgétaire, chacun va devoir évoluer, estime Benoît Leguet.