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Rapport annuel 2017-2018 : des idées, de l’impact.

10 septembre 2018 - Hors série

Pour un think tank, l’expertise – aussi pointue soit-elle – ne suffit pas.
Être un think tank, c’est contribuer activement au débat public.

C’est pourquoi le rapport annuel 2017-2018 d’I4CE se concentre sur notre préoccupation quotidienne : avoir de l’impact.

A travers trois projets emblématiques, il illustre différents modes d’actions d’I4CE pour contribuer à la lutte contre les changements climatiques  : Informer les décideur, être force de proposition, créer des lieux de dialogue et d’action entre toutes les parties prenantes.

Le rapport annuel donne la parole à ces parties prenantes, en faisant témoigner des décideurs publics, des associations ou des entreprises sur l’utilité des actions d’I4CE. Vous y retrouverez également les informations clés sur la gouvernance, les financements, et l’équipe du think tank.

 

 

 

 

 

 

Rapport annuel 2017-2018 : des idées, de l’impact. Télécharger
Pour aller plus loin
  • 02/06/2023
    Investissements climat : derrière les chiffres, des choix politiques

    Avec le récent rapport de Jean Pisani-Ferry et Selma Mahfouz, la question du financement de la transition climatique fait les gros titres en France. Il suscite énormément de réactions et vous trouverez dans cette newsletter plusieurs analyses d’I4CE, dont une qui explore l’idée de financer la transition avec des économies budgétaires et met en lumière les défis, jamais faciles, que cela implique de relever

  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

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Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
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