Événements

VOCAL : Développer un cadre de certification carbone en France

- Par : Clothilde TRONQUET / Claudine FOUCHEROT

Valoriser des initiatives multi-acteurs dans les secteurs agricole et forestier par la compensation carbone volontaire

 

Le projet VOCAL est mené par I4CE en partenariat avec le GIP Massif central, le  CNPF, l’IDELE, le CNIEL, le CNE, le CIV et Interbev. Il est cofinancé par l’Union Européenne via le fonds européen de développement régional en Massif central et par l’ADEME.

 

I4CE, le Ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer et Info Compensation Carbone vous convient à la restitution de l’étude sur le potentiel et les déterminants de la demande volontaire en crédits carbone en France.  Cet événement est aussi l’occasion de présenter officiellement le projet VOCAL (création d’un cadre national de certification pour les projets agricoles et forestiers) et d’échanger sur la certification carbone. Le projet de certification VOCAL est issu des travaux des Club Carbone Forêt Bois et Club Climat Agriculture, animés par I4CE et ses partenaires.

 

Programme

Allocution de bienvenue

  • Stéphanie Croguennec – DGEC

 

Introduction

 

Lumière sur les projets carbone en France

 

La demande de compensation carbone volontaire en France

 

Débat « De VOCAL à l’article 6 : quelles perspectives pour la compensation carbone ? » Regards croisés sur les perspectives d’application de l’Article 6 de l’Accord de Paris, clef de voute des futurs mécanismes climat.

  • Modération : Renaud Bettin – Chef de projet Info Compensation Carbone – GERES
  • Marion Verles – Directrice Générale –The Gold Standard Foundation
  • Aurélie Lepage – Directrice Générale– Aera Group
  • Mathieu Wemaere – Avocat spécialiste du droit du climat

 

Conclusions et clôture : VOCAL, un référentiel aux applications multiples

  • Benoît Leguet – directeur d’I4CE
  • Stéphanie Croguennec – DGEC / Dimitar Nikov -DGEC

 

Suite aux discussions, I4CE vous propose un complément d’information sur les questions liées à la gestion du double-compte dans le cadre des projets volontaires au niveau des pays de l’annexe B.

 

25 janv 2017

VOCAL : Développer un cadre de certification carbone en France

Contacts I4CE
Clothilde TRONQUET
Clothilde TRONQUET
Chercheuse – Carbon farming, Marchés carbone, Clubs Agriculture et Forêt Email
Pour aller plus loin
  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Assouplir les normes CO₂ pour les voitures ne sauvera pas l’industrie automobile européenne, ni le pouvoir d’achat

    Récemment, les constructeurs automobiles ont appelé à un assouplissement des normes d’émission de CO2 pour les véhicules, ainsi qu’à un report de l’objectif 2035 sur la fin de vente des véhicules thermiques. Ils soulignent en particulier la crise que l’industrie a connu ces dernières années, la pression croissante de la Chine sur leur compétitivité et la demande insuffisante de véhicules électriques en Europe. Alors que la Commission européenne s’apprête à publier son paquet automobile, qui comprend une révision des normes d’émissions de CO₂ pour les voitures, cet article examine les réalités qui se cachent derrière les difficultés actuellement rencontrées par les constructeurs automobiles et les conséquences d’un assouplissement et d’un report de la réglementation européenne pour ce secteur. 

  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Maintenir l’objectif 2035 pour soutenir la transition de l’industrie automobile française

    Pour réduire ses émissions de CO2 et ses coûteuses importations de carburants fossiles, l’Union Européenne s’est donné pour règle en 2022 qu’à partir de 2035, tous les nouveaux véhicules devront être à émissions nulles, c’est-à-dire essentiellement électriques. Mais aujourd’hui, ce règlement est remis en question. Les constructeurs automobiles demandent sa révision, pour autoriser les véhicules hybrides rechargeables, ou ceux fonctionnant aux biocarburants, entre autres modifications qui reviendraient, si elles étaient adoptées, à continuer à vendre des véhicules thermiques après 2035.  

  • 28/11/2025
    La finance climat à Belém : une opportunité manquée pour la mise en œuvre – et des coalitions qui avancent malgré tout

    La COP30 s’est conclue par un accord, preuve que le multilatéralisme fonctionne encore, mais son contenu déçoit : aucune décision sur la sortie des énergies fossiles ni contre la déforestation, un bilan mitigé pour l’adaptation. Sur la finance climat, Belém n’a pas réussi à passer de l’ambition à la mise en œuvre. Les négociations ont vite dérivé vers une nouvelle bataille de chiffres. La décision de tripler les financements pour l’adaptation laisse un goût d’inachevé : horizon lointain (2035), absence d’année de référence et formulation peu contraignante. Surtout, la COP30 a manqué l’occasion de s’attaquer aux mesures concrètes identifiées dans la feuille de route de Bakou à Belém pour atteindre 1 300 milliards de financements en 2035. Elle a cependant lancé de nouveaux processus : programme de travail sur la finance climat et table ronde ministérielle sur le NCQG.  

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