Webconférence | Climat : où en est le plan de relance ?

Conférences - Par : Benoît LEGUET

Mettre en œuvre aujourd’hui et préparer demain

 

Webconférence en direct depuis l’Assemblée nationale

Sous le Haut Patronage de Richard Ferrand, Président de l’Assemblée nationale

 

 

30% du plan de relance de la France ont été consacrés à la transition écologique et notamment à la rénovation des bâtiments, au soutien aux véhicules bas carbone et au ferroviaire ou encore au développement des protéines végétales, autant de filières essentielles pour aider les ménages et les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, pour les accompagner dans la transition bas carbone. Comment cet engagement se traduit-il concrètement sur le terrain ?

 

L’Institut de l’économie pour le climat (I4CE) et le rapporteur général du budget Laurent Saint Martin ont organisé une webconférence pour faire le point sur la mise en œuvre de ces engagements, de manière transpartisane et avec les témoignages d’entreprises et de collectivités. Cet évènement permettra également de lancer la réflexion sur le financement public de la lutte contre les changements climatiques après-2022, quand les crédits de la relance arriveront à échéance.

 

 

Programme :

 

15H00 : Ouverture de Bruno Le Maire, Ministre de l’Economie des finances et de la relance

 

15H15 : Introduction de Laurent Saint Martin, Rapporteur du budget, Député du Val-de-Marne

 

15H30 : 1ère table-ronde « Témoignages »

  • Francois Ligier, Président directeur – Ligier Group
  • Florence Pradier, Directrice générale – Coopération Agricole
  • Arnaud Leroy, Président – ADEME
  • Sarah Lacoche, Directrice Finance – Banque des territoires

 

16H30 : Keynote Benoît Leguet, Directeur général d’I4CE

 

16H40 : 2nd table-ronde  « Députés »

  • Benedicte Peyrol, Députée de l’Allier
  • Charles de Courson, Député de la Marne
  • Julien Aubert, Député du Vaucluse
  • Dominique Potier, Député de la Meurthe-et-Moselle

 

17H40 : Conclusion de Richard Ferrand, Président de l’Assemblée nationale

 

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12 mai 2021

Webconférence | Climat : où en est le plan de relance ?

Contacts I4CE
Benoît LEGUET
Benoît LEGUET
Directeur général Email
Pour aller plus loin
  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Assouplir les normes CO₂ pour les voitures ne sauvera pas l’industrie automobile européenne, ni le pouvoir d’achat

    Récemment, les constructeurs automobiles ont appelé à un assouplissement des normes d’émission de CO2 pour les véhicules, ainsi qu’à un report de l’objectif 2035 sur la fin de vente des véhicules thermiques. Ils soulignent en particulier la crise que l’industrie a connu ces dernières années, la pression croissante de la Chine sur leur compétitivité et la demande insuffisante de véhicules électriques en Europe. Alors que la Commission européenne s’apprête à publier son paquet automobile, qui comprend une révision des normes d’émissions de CO₂ pour les voitures, cet article examine les réalités qui se cachent derrière les difficultés actuellement rencontrées par les constructeurs automobiles et les conséquences d’un assouplissement et d’un report de la réglementation européenne pour ce secteur. 

  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Maintenir l’objectif 2035 pour soutenir la transition de l’industrie automobile française

    Pour réduire ses émissions de CO2 et ses coûteuses importations de carburants fossiles, l’Union Européenne s’est donné pour règle en 2022 qu’à partir de 2035, tous les nouveaux véhicules devront être à émissions nulles, c’est-à-dire essentiellement électriques. Mais aujourd’hui, ce règlement est remis en question. Les constructeurs automobiles demandent sa révision, pour autoriser les véhicules hybrides rechargeables, ou ceux fonctionnant aux biocarburants, entre autres modifications qui reviendraient, si elles étaient adoptées, à continuer à vendre des véhicules thermiques après 2035.  

  • 28/11/2025
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    La COP30 s’est conclue par un accord, preuve que le multilatéralisme fonctionne encore, mais son contenu déçoit : aucune décision sur la sortie des énergies fossiles ni contre la déforestation, un bilan mitigé pour l’adaptation. Sur la finance climat, Belém n’a pas réussi à passer de l’ambition à la mise en œuvre. Les négociations ont vite dérivé vers une nouvelle bataille de chiffres. La décision de tripler les financements pour l’adaptation laisse un goût d’inachevé : horizon lointain (2035), absence d’année de référence et formulation peu contraignante. Surtout, la COP30 a manqué l’occasion de s’attaquer aux mesures concrètes identifiées dans la feuille de route de Bakou à Belém pour atteindre 1 300 milliards de financements en 2035. Elle a cependant lancé de nouveaux processus : programme de travail sur la finance climat et table ronde ministérielle sur le NCQG.  

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