Publications

I4CE accrédité comme observateur auprès du Fonds Vert pour le Climat

23 septembre 2016 - Édito de la semaine

gCF

En tant qu’Observateur auprès du FVC, I4CE peut participer aux réunions du Fonds Vert, fournir des conseils stratégiques sur la conception, le développement et la mise en œuvre des stratégies, des projets et des activités à financer par le Fonds. Dans le cadre de ses responsabilités au titre d’observateur, I4CE espère faire des apports conséquents sur les questions examinées par le Conseil du Fonds Verts.

Le Fonds vert pour le climat est le principal instrument multilatéral d’aide aux pays pauvres et vulnérables en matière de climat et a été créé par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) lors des négociations sur les changements climatiques internationales (COP 17) à Durban, Afrique du Sud.

Le Fonds est conçu pour agir en tant qu’entité opérationnelle du mécanisme financier de la Convention. Il vise à soutenir un changement de paradigme dans la réponse mondiale au changements climatique en allouant des ressources financières à des projets réduisant les émissions et résilients au changement climatique dans les pays en développement.

Dans le cadre de sa mission stratégique de contribuer au débat public, I4CE est également un membre observateur de la CCNUCC. En tant que tel, les équipes d’I4CE et experts assistent régulièrement aux Conférences des Parties et aux réunions d’experts de la CCNUCC. La contribution d’I4CE se matérialise par la réponse à des consultations publiques et par l’organisation et participation à des événements parallèles et des conférences associées à ces événements.

Décision d’accréditation du 21 septembre :  GCF Decision B.BM-2016/1

 

Pour aller plus loin
  • 12/12/2025 Billet d'analyse
    Paris +10 : l’action climat plus que jamais nécessaire pour assurer notre sécurité, notre souveraineté, notre compétitivité, et la soutenabilité de nos finances publiques

    Qu’il semble loin, le 12 décembre 2015. Toutes les délégations à la COP21 se rangeaient alors derrière le petit marteau vert (en bois jurassien) de Laurent Fabius. Dix ans plus tard, la mode est plutôt au backlash.  La lutte contre le changement climatique peut désormais être décrite dans le débat public comme trop coûteuse car nécessitant des investissements conséquents. Inefficace, la part de nos émissions dans les émissions mondiales étant faible. Injuste, car venant amputer le pouvoir d’achat. Trop clivante, et voulue par une partie de l’électorat uniquement. Trop tardive, maintenir la planète sous +2°C de réchauffement semblant désormais hors de portée. Autant d’arguments qui sont pour partie vrais. Mais nécessitent pour autant d’être fortement nuancés. 

  • 11/12/2025 Billet d'analyse
    MaPrimeRénov’ : comment éviter de nouveaux coups d’arrêt ?

    À l’été 2025, le Gouvernement a décidé de fermer le guichet de MaPrimeRénov’ dédié aux rénovations d’ampleur pour les maisons individuelles. Pas seulement en raison des fraudes sur certains dossiers, mais surtout parce que les moyens de l’Anah n’ont pas suivi l’essor de ces rénovations. Pourtant, la dynamique observée depuis 2024 est un acquis à préserver : la rénovation d’ampleur a du succès et constitue une opportunité économique. Dans le projet de loi de finances, le Gouvernement propose de réduire à nouveau les crédits alloués à l’Anah, faisant craindre un nouveau coup d’arrêt en 2026. Quels moyens pour sécuriser le financement de la rénovation énergétique à court terme ? Et quelles perspectives pour accroître les rénovations d’ampleur sans augmenter les dépenses publiques ? 

  • 11/12/2025 Billet d'analyse
    Le financement climatique à la COP30 : progrès, écueils, défis et perspectives d’avenir

    Il y a quelques semaines, la COP30 s’est achevée à Belém avec l’accord de toutes les parties sur une « mobilisation mondiale » (ou mutirão) contre le changement climatique, prouvant que le multilatéralisme reste une voie viable pour permettre l’action, malgré de forts vents contraires géopolitiques et économiques. Cependant, Belém a donné des résultats décevants : aucune feuille de route pour la transition vers l’abandon des combustibles fossiles, malgré une forte pression de plus de 80 pays, pas de décisions concrètes sur la déforestation, ce qui est décevant pour une « COP amazonienne », et des résultats mitigés sur l’objectif mondial en matière d’adaptation, entre autres. 

Voir toutes les publications
Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
Inscrivez-vous à notre liste de diffusion :
Je m'inscris !
Inscrivez-vous à notre newsletter
Une fois par semaine, recevez toute l’information de l’économie pour le climat.
Je m'inscris !
Fermer