Repères – Chiffres clés du climat France et monde – Edition 2016

11 novembre 2015 - Hors série - Par : François-Xavier DUSSUD / Irénée Joassard (MEDDE) / Florine WONG / Jérôme DUVERNOY

Dans la continuité des années antérieures, mais avec une acuité à la hauteur de l’enjeu, l’édition 2016 des « Chiffres clés du climat » s’inscrit dans le contexte de la 21e conférence des parties sur les changements climatiques (COP 21) qui se tient à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015.

Cette dernière version a été actualisée et enrichie par rapport à l’édition 2015. Ainsi, l’analyse sectorielle des émissions de GES a été complétée par une double page sur l’agriculture et les émissions liées à l’utilisation des terres, leur changement et la forêt (UTCF). Par ailleurs, une page portant sur la tarification carbone dans le monde a été ajoutée. Enfin, certaines pages consacrées à des données mondiales ont été dédoublées afin de rendre leur lecture plus aisée.

Cependant, toutes les données 2013 des émissions de GES au niveau international ne sont pas encore disponibles. Contrairement aux années passées, leur mise à disposition par l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) interviendra plus tard au cours de
cette année.

Cette publication, par son organisation et le choix des thèmes abordés, a pour ambition d’informer un public le plus large possible sur le changement climatique, ses mécanismes, causes et effets ainsi que sur les dispositifs internationaux mis en place pour le circonscrire. En parallèle de cette édition papier, une application pour smartphone StatClimat a été réalisée. Elle présente les principaux chiffres-clés des changements climatiques, en France et dans le monde.

Ce document est disponibles dans l’ensemble des langues officielles de l’ONU à cette adresse: English, Spanish, Chinese, Arabic and Russian versions

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Pour aller plus loin
  • 02/06/2023
    Investissements climat : derrière les chiffres, des choix politiques

    Avec le récent rapport de Jean Pisani-Ferry et Selma Mahfouz, la question du financement de la transition climatique fait les gros titres en France. Il suscite énormément de réactions et vous trouverez dans cette newsletter plusieurs analyses d’I4CE, dont une qui explore l’idée de financer la transition avec des économies budgétaires et met en lumière les défis, jamais faciles, que cela implique de relever

  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

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