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Webinaire I Investissement climatique et finance durable : Quels progrès et perspectives en Europe centrale et orientale?

Webinaires - Par : Dr. Louise KESSLER

 

Au fur et à mesure que les pays progressent dans la mise en œuvre des stratégies climatiques nationales, des Plans nationaux pour l’énergie et le climat (NECPs) et, plus généralement, des Contributions déterminées au niveau national (NDCs), il devient de plus en plus nécessaire de comprendre comment mobiliser des financements pour réaliser les investissements nécessaires. Aujourd’hui, les pays d’Europe centrale s’emploient à recueillir les informations et les données nécessaires à ce processus.

 

Ce webinaire a examiné les nouvelles perspectives des pays d’Europe centrale et orientale (PECO) et comment ils commencent à faire le suivi des investissements et des financements nationaux en matière de climat. Des experts ont discuté également de la manière dont les PECO intègrent cette question dans le processus de planification et de mise en œuvre de la politique climatique.

 

 

Ordre du jour :

 

Modération : Zofia Wetmanska – WiseEuropa

 

Introduction : Où en sommes-nous aujourd’hui sur l’agenda européen du financement durable – Tom Jess E3G (à confirmer)

Investissements climatiques dans les PECO : l’augmentation du financement et du suivi des investissements climatiques en Europe centrale

 

Présentation de nouvelles perceptives :

Panorama tchèque de la finance climatique – Michaela Valentová, Université technique tchèque de Prague
Leçons du panorama letton – Agris Kamenders (Université technique de Riga)
Le lien entre le suivi de l’économie réelle et l’agenda de la finance durable – Zofia Wetmanska, WiseEuropa & Hanna Fekete, NewClimate Institute

Discussion : différences clé entre les modèles d’investissement et de financement entre les pays ? Quelles leçons les pays pourraient-ils en tirer ?

 

 

À propos de cette série de webinaires

En mars 2019, I4CE, en partenariat avec WiseEuropa et le NewClimate Institute, a lancé un groupe de suivi de l’Union européenne (UE) sur l’investissement et la finance climat lors d’un atelier soutenu par l’IKEM à Berlin. L’objectif de ce groupe est de connecter et de favoriser l’échange de connaissances et d’expertise entre différents types d’acteurs (recherche, groupes de réflexion, gouvernement, entre autres) sur les thèmes de la finance et de l’investissement liés à la transition des pays européens vers des économies bas-carbone et résilientes. Le groupe de contact, qui fait partie du « Panorama des investissements climat : promouvoir le débat sur les flux financiers climatiques en Europe centrale » parrainé par l’IKEM, a pour objectif spécifique d’accroître la participation des représentants des pays d’Europe centrale et orientale dans ces discussions.

 

Pour poursuivre les discussions entamées à Berlin en mars 2019, le consortium du projet propose l’organisation de deux webinaires en novembre et décembre 2019. Ceci correspond à la publication de nouvelles recherches sur le suivi des paysages en France, en Allemagne et en République Tchèque.

 

Cette série de webinaires est financée par l’Initiative européenne sur le climat (IKEM) du ministère fédéral allemand de l’environnement, de la protection de la nature et de la sûreté nucléaire (BMU). L’objectif primordial de l’IKEM est d’encourager la coopération sur les sujets liés au changement climatique au sein de l’Union européenne afin d’atténuer les émissions de gaz à effet de serre. Les avis émis dans le cadre de cet atelier relèvent de la seule responsabilité des organisateurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue du ministère fédéral de l’environnement, de la protection de la nature et de la sûreté nucléaire (BMU).

18 déc 2019

Webinaire I Investissement climatique et finance durable : Quels progrès et perspectives en Europe centrale et orientale?

Contacts I4CE
Dr. Louise KESSLER
Dr. Louise KESSLER
Directrice de programme – Outils de pilotage, Financement de la transition Email
Pour aller plus loin
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    Assouplir les normes CO₂ pour les voitures ne sauvera pas l’industrie automobile européenne, ni le pouvoir d’achat

    Récemment, les constructeurs automobiles ont appelé à un assouplissement des normes d’émission de CO2 pour les véhicules, ainsi qu’à un report de l’objectif 2035 sur la fin de vente des véhicules thermiques. Ils soulignent en particulier la crise que l’industrie a connu ces dernières années, la pression croissante de la Chine sur leur compétitivité et la demande insuffisante de véhicules électriques en Europe. Alors que la Commission européenne s’apprête à publier son paquet automobile, qui comprend une révision des normes d’émissions de CO₂ pour les voitures, cet article examine les réalités qui se cachent derrière les difficultés actuellement rencontrées par les constructeurs automobiles et les conséquences d’un assouplissement et d’un report de la réglementation européenne pour ce secteur. 

  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Maintenir l’objectif 2035 pour soutenir la transition de l’industrie automobile française

    Pour réduire ses émissions de CO2 et ses coûteuses importations de carburants fossiles, l’Union Européenne s’est donné pour règle en 2022 qu’à partir de 2035, tous les nouveaux véhicules devront être à émissions nulles, c’est-à-dire essentiellement électriques. Mais aujourd’hui, ce règlement est remis en question. Les constructeurs automobiles demandent sa révision, pour autoriser les véhicules hybrides rechargeables, ou ceux fonctionnant aux biocarburants, entre autres modifications qui reviendraient, si elles étaient adoptées, à continuer à vendre des véhicules thermiques après 2035.  

  • 28/11/2025
    La finance climat à Belém : une opportunité manquée pour la mise en œuvre – et des coalitions qui avancent malgré tout

    La COP30 s’est conclue par un accord, preuve que le multilatéralisme fonctionne encore, mais son contenu déçoit : aucune décision sur la sortie des énergies fossiles ni contre la déforestation, un bilan mitigé pour l’adaptation. Sur la finance climat, Belém n’a pas réussi à passer de l’ambition à la mise en œuvre. Les négociations ont vite dérivé vers une nouvelle bataille de chiffres. La décision de tripler les financements pour l’adaptation laisse un goût d’inachevé : horizon lointain (2035), absence d’année de référence et formulation peu contraignante. Surtout, la COP30 a manqué l’occasion de s’attaquer aux mesures concrètes identifiées dans la feuille de route de Bakou à Belém pour atteindre 1 300 milliards de financements en 2035. Elle a cependant lancé de nouveaux processus : programme de travail sur la finance climat et table ronde ministérielle sur le NCQG.  

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