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I4CE accompagne la Tunisie vers la transition bas-carbone

Ce projet a été mené avec l’appui du programme « Partnership for Market Readiness » de la Banque Mondiale, et piloté par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et l’Agence Nationale pour la Maîtrise de l’Energie (ANME), en partenariat notamment avec l’Association professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers (APTBEF).

Plusieurs actions ont permis aux experts d’I4CE d’accompagner différents acteurs de l’économie tunisienne vers la mise en œuvre d’une trajectoire bas-carbone. Parmi le panel d’experts sollicités par le PNUD, l’ANME et l’APTBEF, Romain Hubert est intervenu sur les risques et opportunités climatiques lors de la toute première journée de formation destinée aux opérationnels du secteur bancaire.

Précédemment, Sébastien Postic et Vivian Dépoues ont également initié des cadres de l’administration et des grandes entreprises publiques tunisiennes qui seront en charge de l’élaboration et du suivi de la stratégique nationale bas carbone aux démarches de prospective.

Au cours de deux journées, les 21 et 22 juin à Hammamet, les participants ont pu découvrir la philosophie de ces démarches, les principes de construction et d’analyse de scénarios et les techniques de modélisation. Cela vient compléter l’intervention de Benoit Leguet et Pierre Ducret auprès de hauts responsables du secteur financier et de celui de l’énergie, le 18 juin à Tunis.

Sébastien Postic et Benoit Leguet ont animé un atelier national de deux jours pour lancer les réflexions sur la tarification carbone et les outils de décision associés.

I4CE a par ailleurs organisé deux visites en France pour une délégation de membres du PNUD et de l’ANME, dans le but d’échanger de façon directe avec les acteurs de la tarification du carbone en France (entre autres MTES, France Stratégie) ainsi que les principaux centres de modélisation économique français.

Contacts I4CE
Romain HUBERT
Romain HUBERT
Chef de projet – Réglementation financière et Europe Email
Dr. Vivian DEPOUES
Dr. Vivian DEPOUES
Chef de projet sénior – Adaptation et Collectivités Email
Benoît LEGUET
Benoît LEGUET
Directeur général Email
Dr. Sébastien POSTIC
Dr. Sébastien POSTIC
Chef de projet – International et Fiscalité et marchés carbone Email
Pour aller plus loin
  • 02/06/2023
    Investissements climat : derrière les chiffres, des choix politiques

    Avec le récent rapport de Jean Pisani-Ferry et Selma Mahfouz, la question du financement de la transition climatique fait les gros titres en France. Il suscite énormément de réactions et vous trouverez dans cette newsletter plusieurs analyses d’I4CE, dont une qui explore l’idée de financer la transition avec des économies budgétaires et met en lumière les défis, jamais faciles, que cela implique de relever

  • 01/06/2023 Billet d'analyse
    Climat : où sont les économies budgétaires ?

    Comment le gouvernement entend-il financer la hausse de ses dépenses publiques pour le climat ? Suite aux réactions du gouvernement au rapport Pisani-Ferry qui proposait d’utiliser toutes les options dont l’endettement et la hausse des prélèvements obligatoires, faisons une hypothèse : et si le gouvernement misait uniquement sur les options d’économies budgétaires ? Damien Demailly d’I4CE fait une revue des options à disposition du gouvernement pour financer ainsi la transition. Évidemment, toutes sont difficiles à mettre en œuvre et certaines peuvent s’avérer contre-productives. Elles méritent néanmoins d’être explicités et débattues. L’ensemble des options pour financer la transition méritent de l’être.

  • 30/05/2023 Tribune
    Tribune – Transition écologique : « La France devra y consacrer chaque année 22 milliards d’euros de plus qu’en 2021 »

    Combien faut-il investir pour le climat ? Des experts d’horizons variés ont cherché à répondre à cette question importante et en apparence assez simple. Ils sont d’accord pour dire que, public comme privé, il faut investir plus pour réduire les émissions de carbone. Mais ils divergent sur l’ampleur du montant, qui va de 20 à 100 milliards d’euros par an. Faut-il s’inquiéter de cette divergence ? La question est importante car elle alimente deux débats. Le premier concerne l’ampleur de la dépense publique. L’Etat et les collectivités locales devront investir dans les bâtiments et les infrastructures publiques, mais aussi aider les ménages et les entreprises à financer leurs propres investissements. Le second débat est macroéconomique : s’il faut investir davantage, cela implique de produire plus et d’épargner plus tout en consommant moins, ou encore de recourir à des capitaux étrangers – ce qui va affecter la croissance, l’emploi et le niveau des prix.

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Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
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