Événements Certification carbone

Méthodes Mangroves et Ville arborée du Label Bas-Carbone

Webinaires - Par : Simon MARTEL

Retrouvez ci-dessous le replay du webinaire organisé par Le Ministère de la Transition énergétique et I4CE pour présenter les 2 nouvelles méthodes du label Bas Carbone approuvées fin 2023 : 

 

Valorisation du stockage de carbone associé à des activités de restauration de mangroves et de forêts dégradées, dans les Départements et Régions d’Outre-Mer (DROM).

Développée par Ecoact

 

Valorisation de la séquestration carbone et des co-bénéfices liés à l’augmentation du couvert arboré en milieu urbain, en France Métropolitaine.

Développée par la Société Forestière de la Caisse des Dépôts et Consignations

 

 

Cliquez ici pour voir les présentations des intervenants pendant l’événement

 

 

 

Le Label Bas Carbone est un outil de certification carbone national, piloté par le Ministère de la Transition énergétique. Il doit permettre de contribuer aux engagements climat de la France en participant au financement de projets positifs pour le climat. Avec 5 ans d’existence, le Label Bas-Carbone a permis la labellisation de plus de 800 projets.

 

Deux nouvelles méthodes ont été approuvées fin 2023, portant à 15 le nombre de méthodes permettant de déposer des projets.

 

Ce webinaire a permis de présenter les 2 nouvelles méthodes approuvées par le Ministère de la Transition énergétique. Les participants au webinaire ont pu découvrir comment mettre en place des projets relatifs à l’une de ces méthodes et pourront échanger avec les développeurs de ces méthodes.

 

Pour aller plus loin
  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Assouplir les normes CO₂ pour les voitures ne sauvera pas l’industrie automobile européenne, ni le pouvoir d’achat

    Récemment, les constructeurs automobiles ont appelé à un assouplissement des normes d’émission de CO2 pour les véhicules, ainsi qu’à un report de l’objectif 2035 sur la fin de vente des véhicules thermiques. Ils soulignent en particulier la crise que l’industrie a connu ces dernières années, la pression croissante de la Chine sur leur compétitivité et la demande insuffisante de véhicules électriques en Europe. Alors que la Commission européenne s’apprête à publier son paquet automobile, qui comprend une révision des normes d’émissions de CO₂ pour les voitures, cet article examine les réalités qui se cachent derrière les difficultés actuellement rencontrées par les constructeurs automobiles et les conséquences d’un assouplissement et d’un report de la réglementation européenne pour ce secteur. 

  • 01/12/2025 Billet d'analyse
    Maintenir l’objectif 2035 pour soutenir la transition de l’industrie automobile française

    Pour réduire ses émissions de CO2 et ses coûteuses importations de carburants fossiles, l’Union Européenne s’est donné pour règle en 2022 qu’à partir de 2035, tous les nouveaux véhicules devront être à émissions nulles, c’est-à-dire essentiellement électriques. Mais aujourd’hui, ce règlement est remis en question. Les constructeurs automobiles demandent sa révision, pour autoriser les véhicules hybrides rechargeables, ou ceux fonctionnant aux biocarburants, entre autres modifications qui reviendraient, si elles étaient adoptées, à continuer à vendre des véhicules thermiques après 2035.  

  • 28/11/2025
    La finance climat à Belém : une opportunité manquée pour la mise en œuvre – et des coalitions qui avancent malgré tout

    La COP30 s’est conclue par un accord, preuve que le multilatéralisme fonctionne encore, mais son contenu déçoit : aucune décision sur la sortie des énergies fossiles ni contre la déforestation, un bilan mitigé pour l’adaptation. Sur la finance climat, Belém n’a pas réussi à passer de l’ambition à la mise en œuvre. Les négociations ont vite dérivé vers une nouvelle bataille de chiffres. La décision de tripler les financements pour l’adaptation laisse un goût d’inachevé : horizon lointain (2035), absence d’année de référence et formulation peu contraignante. Surtout, la COP30 a manqué l’occasion de s’attaquer aux mesures concrètes identifiées dans la feuille de route de Bakou à Belém pour atteindre 1 300 milliards de financements en 2035. Elle a cependant lancé de nouveaux processus : programme de travail sur la finance climat et table ronde ministérielle sur le NCQG.  

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